Histoires de chasses

Il y a quelques années maintenant ont avaient loués un petit territoire (76 ha)
L'ont avaient décidés de chasser le grand gibier à l'approche.
Sur ce territoire il y avait un engrillagement , un espéce de L avec deux portes d'accés, une petite bande de bois de quelques metres coupés la piéce en deux. le proprio faisait parfois du maïs, cette année là il était resté en herbe,
Un matin partie faire le tour du bois, j'entrevoie dans une des parties deux cerfs, je décide donc de faire le tour est accéder par une porte à l'intérieur.
Chose faite , plus rien dans la premiére partie, je longe la bande de bois qui est assez dense, pour arriver dans la deuxieme partie, plus rien mes deux cerfs se sont évanouis. Je remonte le long du grillage pour voir dans le recoin.
Et là je n'observe plus qu'un cerf, qui essaye de passer au travers du grillage en vain.
N'étant pas celui recherché, je décide de l'approché à découvert. Je dois être à environ 100 m à peine
En me voyant celui ci force de plus belle dans le grillage, n'arrivant pas à passer celui ci décide de me faire face.
Je continue d'avancé. Il baisse par deux fois la tête , les bois à ras du sol.
Je me dit tiens veux t'il en découdre ?
Je continue d'avancé, il cherche à fuir, toujours dans le grillage, je suis à maintenant 70 m de lui.
Il fait volte face, se met face à moi baisse la tête , et gratte nerveusement le sol de sa patte.
Je pense que la charge est imminente. çà risque de faire mal. J'oblique sur ma droite vers le grillage que je rejoint assez vite.
Ma fois s'il continue , je pense que je battrais tous les records de saut en hauteur.
Il reléve la tête , se retourne vers le grillage de 2 m et le saute quasiment sans prendre d'élan.
Je sais maintenant comme pour tous les animaux sauvages qu'il y a une distance de sécurité, qu'il ne faut pas franchir.

Ps ma femme et moi en 2004 avons été quitte pour une grosse frayeur. Mais ce jour là il s'agissait d'une charge d'intimidation avec une eléphante.
Ridicule à côté de ce cerf.

Eh bah sacré frayeur quand même!

Merci pour la petite histoire!